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revue de presse
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(
) Réceptacle
des désirs les plus secrets, parfois emmagasinés et
sublimés depuis l'enfance, l'image fonctionne ici à
partir d'un dispositif linéaire continu / discontinu,
tracé au marqueur métallisé, et à travers une écriture
codifiée par une mémoire active, mêlant présent, passé
et futur. Et c'est justement le parallèle qu'on peut établir
d'emblée, entre la charge des signes ou des traits brisés
qui trament une telle démarche, et ceux mis en mémoire
par l'ordinateur. Mais ce qui singularise ce périple immatériel, n'est pas sa connotation strictement scientifique, mais l'ivresse ressentie face à l'exploit de l'homme maîtrisant l'espace, face à l'inconnu, et surtout, le droit à la différence et à la rêverie sidérale. Gérard XURIGUERA, 1990 A.I.C.A. Extrait de la préface du catalogue, GALERIE NOOR ARTS, 2 juin 15 juillet 1990, MONACO |
(
) On a
déjà écrit que la peinture de Ferreira-Rocha était mémorielle
(Luisa Melo, 1984), démystifiante (Claude Dorval, 1987),
dialectique (Francisco Lebre, 1989), épistémologique (Chaké
Matossian, 1989), rêveuse (Gérard Xuriguera, 1990)
J'ignore si j'ajoute quelque chose en remarquant que l'uvre
de Ferreira-Rocha s'intéresse à la persistance de la
peinture comme acte de la recherche désirante, plan
d'inscription de ce qu'il restera toujours d'inconnu
entre conscience et inconscient. Raymond PERROT, 1990 A.I.C.A. Extrait de la préface du catalogue, GALERIE MAGELLAN, 4 29 décembre 1990, PARIS |
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© FERREIRA-ROCHA par ADAGP, Paris, 2000, http://www.adagp.fr